DEAR WENDY

Dear Wendy sonne aussi creux qu'un Dogville ou un Manderlay. Même narration lourdaude en voix off, même espace réduit (on ne quitte jamais la place principale du village), même idéologie crasse bassement provoc : c'est comme si Von Trier n'en finissait plus de se foutre de la gueule du monde en pondant sans cesse le même film abject. Et en plus, il refile ses bébés les plus ennuyeux à ses petits copains réalisateurs.
Alors forcément, on n'a pas très envie de charger Vinterberg, qui fait ce qu'il peut pour laisser à flots ce scénario poussif et débile sur une bande de jeunes qui deviennent inconditionnels des armes à feu mais qui font tout sauf s'en servir. Tout ce qu'on peut dire, c'est que Dear Wendy est un film sacrément nul qui ne sert ni ceux qui l'ont fait ni ceux qui le regardent. Beurk beurk beurk.
1/10
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