SHE HATE ME
Le dernier Spike Lee (en date, et peut-être aussi en qualité) est un véritable catalogue des défauts multiples du cinéaste. Idées confuses, embrouillamini de trames sans grand rapport entre elles, insertion inappropriée d'allusions politiques (ici, le Watergate), surf sur les sujets à la mode (les couples homosexuels, les scandales financiers), manichéisme pro-Noirs (les Blancs étant tous pourris, c'est bien connu)...
Viré de la boîte dont il était vice-président pour avoir dénoncé des pratiques frauduleuses, Jack devient inséminateur de lesbiennes à 10.000$ le coup de boutoir. S'en suit un improbable et surtout interminable pensum sur la condition de la lesbienne, la place du Noir dans la société US, le règne de l'argent. Une accumulation d'idées éculées, traitées tour à tour sur le mode comédie, drame, téléfilm érotique... Bref, un fourre-tout de 2h19 dont on se passerait volontiers. Après le formidable 24 heures avant la nuit, Lee retombe dans ses pires travers. Pour de bon?
Viré de la boîte dont il était vice-président pour avoir dénoncé des pratiques frauduleuses, Jack devient inséminateur de lesbiennes à 10.000$ le coup de boutoir. S'en suit un improbable et surtout interminable pensum sur la condition de la lesbienne, la place du Noir dans la société US, le règne de l'argent. Une accumulation d'idées éculées, traitées tour à tour sur le mode comédie, drame, téléfilm érotique... Bref, un fourre-tout de 2h19 dont on se passerait volontiers. Après le formidable 24 heures avant la nuit, Lee retombe dans ses pires travers. Pour de bon?
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