02 septembre 2006

A BITTERSWEET LIFE

C'est l'histoire d'un type, t'as vu, bah il est homme demain, t'as vu, trop à fond dedans, même qu'il a jamais eu de meuf tellement il est perché, truc de dingue, alors que quand même il est beau gosse, costard et tout et tout. Le gars, c'est genre, en pleine réunion de mafieux, quand il est pas content, il se met de bout sur la table pour savater du gangster en poussant des petits cris aigus comme Bruce Lee, et même si ils ont des guns, le gars il s'en cogne, il leur met des atemis dans les avant-bras.
Alors après, le type, il doit surveiller la meuf de son boss parce qu'il paraît qu'elle se serre un autre gars, sauf que bon, notre type, il a le coeur et le dard qui le démangent, alors il a vite fait un faible pour elle et il la couvre. Du coup ça attire les emmerdes en pagaille et au bout d'un moment il se retrouve écartelé dans un entrepôt. Et le type, au lieu de demander pardon ou quoi, il crache sur tout le monde en disant qu'il en a rien à foutre de la mort. Trop une tête brûlée, t'as vu.
A bittersweet life, ça dure deux heures, t'as vu, mais je dirais plutôt deux plombes, et en plus c'est rien que du cliché, du moche, du clinquant, et surtout du con. Même à moi on me la fait pas avec un truc pareil. Le réalisateur Ji-woon Kim, t'as vu, c'est le plus frimeur et le plus mauvais de la pseudo "nouvelle vague coréenne" mon cul. Vraiment trop craignos, le film.
1/10

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